Dans deux jours, dimanche 11 mars, nous serons très précisément à six semaines des élections présidentielles en France, mais aussi tout juste un an après le tremblement de terre au Japon. Cela ne laisse pas beaucoup d'espoir quant au traitement que les candidats et les principaux responsables politiques feront de ce premier anniversaire.
J'ai pourtant un voeu : que l'un d'entre eux, au lieu de venir nous parler encore fois du nucléaire (que ce soit pour le défendre ou en souhaiter la sortie), remette les choses dans leur contexte.
Ne serait-il pas appréciable, pour une fois, d'entendre ceci ?
"Aujourd'hui n'est pas le jour pour parler du nucléaire. Nous l'avons fait, et nous continuerons à le faire. Personne ne va oublier ce qu'il s'est passé à Fukushima. Mais il y a un an, le tremblement de terre et le tsunami ont tué plus de 15,000 personnes, et plus de 300,000 personnes ont été sinistrées. Le débat peut attendre 24 heures."
Un peu de dignité, cela n'a jamais de mal, surtout en période électorale.
Réponse dimanche soir...
J'ai pourtant un voeu : que l'un d'entre eux, au lieu de venir nous parler encore fois du nucléaire (que ce soit pour le défendre ou en souhaiter la sortie), remette les choses dans leur contexte.
Ne serait-il pas appréciable, pour une fois, d'entendre ceci ?
"Aujourd'hui n'est pas le jour pour parler du nucléaire. Nous l'avons fait, et nous continuerons à le faire. Personne ne va oublier ce qu'il s'est passé à Fukushima. Mais il y a un an, le tremblement de terre et le tsunami ont tué plus de 15,000 personnes, et plus de 300,000 personnes ont été sinistrées. Le débat peut attendre 24 heures."
Un peu de dignité, cela n'a jamais de mal, surtout en période électorale.
Réponse dimanche soir...
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